Chère amie, je me suis permis de troubler ta surface pour y faire naître une coupe de cristal d’eau douce et de mer, une coupe fugace dont j’ai pris soin de conserver une trace.

Chaque jour, par la nature des choses, oscille ta force nourricière le long de tes rives, sans inquiétude et sans doute, alors que chacun de nous doit faire preuve de volonté quotidienne pour affiner ses convictions.

Cette coupe est un sourire, à l’attention de ceux qui valorisent le bien commun, avec humilité jour après jour et viennent parfois se ressourcer le long de tes méandres.