Je suis passé hier soir, les travaux semblent sur la fin. De gros et beaux blocs de béton proprement découpés, presque cirés ont remplacé ceux que l’érosion avait fragilisé avant que la tempête leur casse les dents et les jambes.

Les énormes tétrapodes entassés au pied du sémaphore ont été ensablés de part et d’autre de la voie qui mène au perchoir pour casser la houle. Difficile d’imaginer qu’il y a 4 mètres de matière sous le sable.